Auteur : Antoine VOLODINE (FRA)
Titre : rituel du mépris
Editions : denoël, coll. Présence du futur
Parution : 1986
Le récit débute par un interrogatoire subit par le narrateur qui nous parle de son enfance et de son éducation par son oncle qui le menaçait avec une hache alors qu’il n’était âgé que de 3 ans. Bienvenue sur terre man.
Ensuite nous suivons le déroulement de son enfance chez un de ses oncles qui s’avère être un voleur, celui-ci lui montrant la technique à son neveu, il s’agit de passer par les toits (rien de bien original). Cet oncle ne porte guère d’intérêt au garçon qu’il traîne plus comme un boulet que comme un bon compagnon.
Volodine s’adresse directement au lecteur d’un ton résolument humoristique « pour ce qui concerne mon écriture, j’espère que l’on me pardonnera les boucles et les déliés fantastiques qui vont errer aux longs des lignes. Je ne suis pas responsable. C’est une blessure au doigt qui risque de rendre mon exposé indéchiffrable » (s’il n’y avait eu que ça, nous y reviendrons) et une remarque du même style à la fin du récit.
Un peu plus loin nous apprenons que la tante fait croire que son mari (l’oncle), le Goldzer, s’est jeté par la fenêtre. Tout le voisinage rapplique et compatit. Petit problème cependant, l’absence de cadavre. En effet, aucune trace de sang sur le sol, le Goldzer se serait volatilisé. La tante indique en douce au neveu qu’il est planqué à l’étage, humour noir quand tu nous tiens. Un autre oncle du narrateur s’engage à le retrouver, non pour des raisons amicales et encore moins familiales…
Les forets alentour de la ville sont peuplées de Morguves. Chez cette espèce, la femme est choisie dès son enfance. Leurs enfants naissent mous et gluants (un peu comme les nôtres, en moins pire)…
A la fin, on découvre avec un peu plus de détails qui est notre narrateur. Malgré la petitesse du livre (180p), je me suis profondément ennuyé. Il ne se passe rien, cela ne fait pas réfléchir non plus, l’histoire ne m’a pas plu.
Je crois que ce livre va disparaître rapidement de ma mémoire. Le plus étrange est que je n’arrive pas à le détester, il ne me fait simplement ni chaud ni froid.
Titre : rituel du mépris
Editions : denoël, coll. Présence du futur
Parution : 1986
Le récit débute par un interrogatoire subit par le narrateur qui nous parle de son enfance et de son éducation par son oncle qui le menaçait avec une hache alors qu’il n’était âgé que de 3 ans. Bienvenue sur terre man.
Ensuite nous suivons le déroulement de son enfance chez un de ses oncles qui s’avère être un voleur, celui-ci lui montrant la technique à son neveu, il s’agit de passer par les toits (rien de bien original). Cet oncle ne porte guère d’intérêt au garçon qu’il traîne plus comme un boulet que comme un bon compagnon.
Volodine s’adresse directement au lecteur d’un ton résolument humoristique « pour ce qui concerne mon écriture, j’espère que l’on me pardonnera les boucles et les déliés fantastiques qui vont errer aux longs des lignes. Je ne suis pas responsable. C’est une blessure au doigt qui risque de rendre mon exposé indéchiffrable » (s’il n’y avait eu que ça, nous y reviendrons) et une remarque du même style à la fin du récit.
Un peu plus loin nous apprenons que la tante fait croire que son mari (l’oncle), le Goldzer, s’est jeté par la fenêtre. Tout le voisinage rapplique et compatit. Petit problème cependant, l’absence de cadavre. En effet, aucune trace de sang sur le sol, le Goldzer se serait volatilisé. La tante indique en douce au neveu qu’il est planqué à l’étage, humour noir quand tu nous tiens. Un autre oncle du narrateur s’engage à le retrouver, non pour des raisons amicales et encore moins familiales…
Les forets alentour de la ville sont peuplées de Morguves. Chez cette espèce, la femme est choisie dès son enfance. Leurs enfants naissent mous et gluants (un peu comme les nôtres, en moins pire)…
A la fin, on découvre avec un peu plus de détails qui est notre narrateur. Malgré la petitesse du livre (180p), je me suis profondément ennuyé. Il ne se passe rien, cela ne fait pas réfléchir non plus, l’histoire ne m’a pas plu.
Je crois que ce livre va disparaître rapidement de ma mémoire. Le plus étrange est que je n’arrive pas à le détester, il ne me fait simplement ni chaud ni froid.
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